Si mon corps est un don de Dieu, si Dieu lui-même s’est fait chair en Jésus, je ne peux ni le mépriser ni le maltraiter, je dois au contraire le garder et en prendre soin.
Si la sexualité est un don de Dieu, elle est belle et pure; je dois préserver cette beauté par un amour qui soit respectueux de l’autre.
Si mon corps est un don de Dieu, il ne m’appartient pas; je n’en suis que le locataire, et Dieu me demandera compte de ce que j’ai fait dans mon corps.
Si Dieu, qui m’a tout donné, m’appelle à donner mon corps, c’est comme une offrande volontaire d’amour de Dieu et du prochain.
Si j’ai l’espérance de recevoir un nouveau corps libéré à la résurrection, cela signifie que les souffrances dans ce corps ne sont pas la fin de tout.